Par Syla dans Accueil le 15 Septembre 2009 à 13:47
Ne pas hésiter à réconforter une personne dans la souffrance, même si cela paraît dérisoire ou inutile. Les paroles réchauffent le coeur et les mots sont les pansements de l'âme...
Par Syla dans Accueil le 14 Septembre 2009 à 14:07
A lire avant de regarder la vidéo : Voici le lien de la video pour les curieux : http://www.youtube.com/watch?v=mQdeTGPRm5s Un jour, un fils dit à son père: -'Papa, veux-tu courir un marathon avec moi?' - et le père dit 'oui'. Ils courent ensemble leur premier marathon. Une autre fois, le fils redemande: -'Papa, veux-tu courir encore un marathon avec moi ?' - et le père dit 'oui, mon fils' Un jour, le fils demande à son père : -'Papa, veux-tu courir avec moi le Ironman ?' Le Ironman est le triathlon le plus difficile qui existe : (nager 4km, faire du vélo pendant 180 km et courir 42 km) Et le papa dit 'oui' Le récit semble "simple". Jusqu'à ce qu'à ce que l’on on visionne le vidéo... Il n'y a qu'un seul mot à dire : RESPECT A diffuser le plus largement possible autour de vous .
Cette leçon d'humilité inspire le respect et se passe de commentaires... A savourer sans perdre une seconde.
On peut vivre sans richesse Presque sans le sou Des seigneurs et des princesses Y'en a plus beaucoup Mais vivre sans tendresse On ne le pourrait pas Non, non, non, non On ne le pourrait pas
On peut vivre sans la gloire Qui ne prouve rien Etre inconnu dans l'histoire Et s'en trouver bien Mais vivre sans tendresse Il n'en est pas question Non, non, non, non Il n'en est pas question
Quelle douce faiblesse Quel joli sentiment Ce besoin de tendresse Qui nous vient en naissant Vraiment, vraiment, vraiment
Le travail est nécessaire Mais s'il faut rester Des semaines sans rien faire Eh bien... on s'y fait Mais vivre sans tendresse Le temps vous paraît long Long, long, long, long Le temps vous parait long
Dans le feu de la jeunesse Naissent les plaisirs Et l'amour fait des prouesses Pour nous éblouir Oui mais sans la tendresse L'amour ne serait rien Non, non, non, non L'amour ne serait rien
Quand la vie impitoyable Vous tombe dessus On n'est plus qu'un pauvre diable Broyé et déçu Alors sans la tendresse D'un cœur qui nous soutient Non, non, non, non On n'irait pas plus loin
Un enfant vous embrasse Parce qu'on le rend heureux Tous nos chagrins s'effacent On a les larmes aux yeux Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu... Dans votre immense sagesse Immense ferveur Faites donc pleuvoir sans cesse Au fond de nos cœurs Des torrents de tendresse Pour que règne l'amour Règne l'amour Jusqu'à la fin des jours
J'aime beaucoup cette chanson, et le ukulélé est très bien adapté dans la version ci-dessous. Je la dédie à mon bb, ukulélé oblige, mais aussi parce que nous l'avons chantée ensemble, pour une occasion familiale. Ecoutez aussi la version originale par Bourvil en cliquant sur le lien, sous le titre, joli moment.